Souvent confondues, l’augmentation mammaire et le lifting des seins, réalisées par la clinique Dr. Wim Danau, sont deux opérations différentes. La première a pour but d’accroître le volume des seins, tandis que la seconde vise à soigner la ptôse mammaire. Augmentation mammaire : pour plus de volumeL’augmentation mammaire est l’une des opérations de chirurgie esthétique les plus courantes. Réparatrice ou purement esthétique, cette intervention consiste à donner davantage de volume aux seins et à corriger leurs imperfections, grâce à la pose d’implants en silicone, devant ou derrière le muscle du torse. Il existe deux méthodes d’augmentation mammaire : par prothèse ou par lipofilling. Cette deuxième technique consiste à prélever la graisse d’une autre partie du corps (ventre, poignées d’amour, culotte de cheval) pour l’injecter dans la poitrine. Lifting des seins : pour raffermir et corriger l’affaissement de la poitrineÀ cause du vieillissement, suite à une grossesse ou une importante perte de poids, les seins perdent de leur fermeté et se relâchent. On parle de ptôse mammaire lorsque la glande mammaire s’affaisse et que la peau se détend. Ce problème peut être corrigé grâce à une intervention de chirurgie esthétique : le lifting des seins, ou mastopexie. Cette opération consiste à repositionner l’aréole et la glande mammaire, en remontant les seins pour leur donner plus de tenue, et en retirant l’excédent de peau pour rajeunir leur forme. Le lifting des seins peut inclure une correction du mamelon ou une réduction de l’aréole. Principales différencesLe lifting des seins n’a pas pour objectif d’augmenter le volume de la poitrine, mais de la remodeler. Il n’inclut pas la pose de prothèses, contrairement à l’augmentation mammaire. Il est conseillé pour corriger des défauts d’asymétrie ou d’affaissement. Vous trouvez plus d’informations sur les sites de de la Société Royale Belge de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique, de la Société Française de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique et de l’ISAPS. |